Accrochés aux désirs de vitesse
Et cernant de plomb les plus lents
Les murs ne se font plus face
Des êtres multiples des éventails d’êtres
Des êtres-chevelures
Dorment dans un reflet sanglant
Dans sa rage fauve
La terre montre ses paumes.
Les yeux se sont fermés
Parce que le front brûle
Courage nocturne diminuer l’ombre
De moitié miroir de l’ombre
Moitié du monde la tête tombe
Entre le sommeil et le rêve.