Que dire d’une mère,
Qui n’a pas été dit,
Prières et mille vers,
Encore on en écrit.
Mais c’est pour toi, maman,
Que ces mots, tendrement,
Défilent sous mes yeux,
Sans trêve, comme un jeu ;
Et souviens toi, maman,
Quand nous étions enfants,
Tu peignais nos cheveux,
Et essuyais nos yeux.
Si peine et désarroi
Viennent frapper chez toi,
Tu les laisses entrer
Sans jamais rechigner ;
Et jamais ton visage
Ne m’a montré de larmes
Et la vie qui défile,
Laisse ton coeur sans ride ;
Alors, dis moi ma mère,
Quel donc est ton secret,
Rends moi les idées claires …
Es-tu donc une fée ?